Madame, partez.

J’ai beaucoup aimé l’analyse de Ghislaine Ottenheimer dans Challenges (voir le site). En gros, Madame Alliot-Marie pourrit l’image de la France par son aveuglement (proposer de l’aide à un dictateur pour maintenir son régime... non merci !), joue les maires-adjoints loin de son ministère en période de crise, nous ment (j’ai rien fait, je suis montée par hasard dans l’avion d’un mec croisé au bar, et même c’était un gentil !), refuse de donner des explications crédibles et de présenter des excuses.

A ce niveau là, il reste une seule possibilité : la porte.

Comme conclut la journaliste : « Le peuple français se passionne pour la révolution en cours de l’autre côté de la méditerranée et ne supporte pas d’être représentée, dans le monde, par une personne qui s’est montrée aussi indifférente, voir hostile, aux revendications démocratiques. » . Je m’y retrouve pas mal. Avec en plus le : ras-le-bol de nos pantins franco-français communiquant et vento-brassants mais inefficaces, inutiles, menteurs, profiteurs.

Il serait peut-être temps de faire un peu de ménage de ce côté-ci de la méditerranée.