ce qu’il y a de sympa dans ce bouquin, c’est qu’il est necessaire de le lire , et de le jeter. la pleine conscience n’est pas un exercice de relaxation, ce n’est pas une voie magique vers quelque felicité mystique ou imaginaire, c’est simplement etre là , completement là , seulement la. des lors notre esprit n’a qu’une envie : se barrer pour faire autre chose, idées pensées histoire, liste de course, emotion etc... dans la pleine conscience on réalise ce vagabondage, on l’accepte sans le juger, puis on ramene la conscience a l’instant present, peut etre en s’aidant du souffle comme d’une ancre. et on reste.
on est tendu ca n’a aucune importance on constate ou on est on revient au souffle
c’est agreable ca n’a aucune importance on constate ou on est on revient au souffle
c’est inconfortable ca n’a aucune importance on constate ou on est on revient au souffle
emerge une idée ca n’a aucune importance on constate ou on est on revient au souffle
on pense que ca ne sert a rien ca n’a aucune importance on constate ou on est on revient au souffle
J’aime la notion de paysage mental ou passent tant de "secretions de notre cerveau" tout en fait partie, l’adhesion comme le rejet, il n’y a rien a croire, à sentir,Ã comprendre seulement l’instant. c’est ca le travail de la pleine conscience, cette maniere de faire ne change pas les idées, mais oblige le cerveau a travailler differement c’est comme une gymnastique. comme il n’y a pas besoin de croire quoi que ce soit pour travailler une cellule musculaire et la renforcer, il en est de meme pour les neurones, il suffit de faire et surtout ne rien en attendre, seulement faire sans vouloir que ca change, et la ca change.
On est fait bizarement quand meme
bonjour
ce qu’il y a de sympa dans ce bouquin, c’est qu’il est necessaire de le lire , et de le jeter. la pleine conscience n’est pas un exercice de relaxation, ce n’est pas une voie magique vers quelque felicité mystique ou imaginaire, c’est simplement etre là , completement là , seulement la. des lors notre esprit n’a qu’une envie : se barrer pour faire autre chose, idées pensées histoire, liste de course, emotion etc... dans la pleine conscience on réalise ce vagabondage, on l’accepte sans le juger, puis on ramene la conscience a l’instant present, peut etre en s’aidant du souffle comme d’une ancre. et on reste.
on est tendu ca n’a aucune importance on constate ou on est on revient au souffle
c’est agreable ca n’a aucune importance on constate ou on est on revient au souffle
c’est inconfortable ca n’a aucune importance on constate ou on est on revient au souffle
emerge une idée ca n’a aucune importance on constate ou on est on revient au souffle
on pense que ca ne sert a rien ca n’a aucune importance on constate ou on est on revient au souffle
J’aime la notion de paysage mental ou passent tant de "secretions de notre cerveau" tout en fait partie, l’adhesion comme le rejet, il n’y a rien a croire, à sentir,Ã comprendre seulement l’instant. c’est ca le travail de la pleine conscience, cette maniere de faire ne change pas les idées, mais oblige le cerveau a travailler differement c’est comme une gymnastique. comme il n’y a pas besoin de croire quoi que ce soit pour travailler une cellule musculaire et la renforcer, il en est de meme pour les neurones, il suffit de faire et surtout ne rien en attendre, seulement faire sans vouloir que ca change, et la ca change.
On est fait bizarement quand meme
cordialement
Jean Luc